5 révélations chocs que j’aurais aimé entendre dès ma première pose de cils
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Quand j’ai commencé les extensions de cils, j’étais motivée, passionnée… et un peu perdue.
J’avais l’impression qu’il fallait que je sois bonne tout de suite, que chaque cil mal placé était un échec, et que toutes les autres techniciennes savaient quelque chose que moi, je ne savais pas encore.
Avec le recul, je me suis rendu compte que j’aurais aimé qu’on me dise certaines choses dès le départ. Pas juste les bases techniques, mais les vraies affaires. Celles qui font toute la différence dans ta progression, ta confiance et ton plaisir à pratiquer ton métier.
Aujourd’hui, je m’adresse à l'humble technicienne en extension de cils que j'étais au tout début, et peut-être à toi aussi, si tu es en plein dans cette phase d’apprentissage.
Révélation #1: Ta pince, c’est ton arme la plus précieuse
Nous sous-estimons souvent le pouvoir d’une bonne pince à cils. On pense que si on n’arrive pas à isoler, c’est qu’on manque de précision. Que si le bouquet se referme, c’est qu’on a mal appliqué la technique. Mais la vérité, c’est que la mauvaise pince peut tout saboter.
Quand j’ai découvert des pinces qui convenaient vraiment à ma prise en main, comme toute la gamme de pinces Mariss, tout a changé.
Leur légèreté réduit considérablement la fatigue, même lors de longues poses. Le manche, doté d’une prise de type diamant, offre une stabilité incroyable. Fini les doigts qui glissent: tu contrôles chaque mouvement avec précision.
Ce qui distingue vraiment les pinces à cils Mariss, c’est la technologie fibre laser intégrée à l’embout. Cette innovation permet un agrippement parfait des fibres, que ce soit pour isoler un cil ou attraper un bouquet volume russe, sans jamais abîmer ni faire glisser les extensions.
Avec ces pinces, l’isolation devient fluide, précise et ça change tout. Ton geste est plus sûr, ton travail plus rapide, et tes clientes le ressentent dans la qualité et la tenue de la pose.
Si tu veux vraiment passer au niveau supérieur, investir dans des pinces à cils qui travaillent pour toi, c’est l’une des meilleures décisions que tu peux prendre.
Révélation #2: Comprendre ta colle, c’est la clé et comment Speed It Up m’a sauvé la vie.
Au début, personne ne m’avait vraiment expliqué la chimie derrière la colle. Je pensais que pour bien travailler, il fallait juste essayer toutes les marques, trouver la bonne colle et voilà. En fait, c’est beaucoup plus complexe que ça.
J’ai appris que la colle à extensions, faite à base de cyanoacrylate, polymérise (fige) sur les cils grâce à l’humidité dans l’air. Mais l’environnement où tu travailles, la température et l’humidité joue un rôle énorme dans sa performance. Mon environnement de base n’était pas idéal pour ce phénomène, mais, au fil du temps, j’ai découvert que je pouvais grandement augmenter l'efficacité de la colle avec simples pratiques concrètes.
Utiliser moins de colle
Utiliser la technique de la micro-goutte
Employer le Nanomist, qui aide à neutraliser les vapeurs et sceller la colle sur les cils sans brûler les yeux
Et surtout, mon petit secret: le Speed It Up , un accélérateur que j’applique à la base de la bande de cils. Ce produit est magique! Il empêche la colle de remonter et de refermer les bouquets de type volume russe, ce qui améliore vraiment le look global de ce type de pose.
Comprendre comment ta colle fonctionne t’évite des erreurs, des frustrations, et surtout te permet d’adapter ta technique à ton environnement. Ce n’est pas la colle qui doit te choisir, c’est toi qui dois apprendre à la maîtriser.
Révélation #3: Chaque cil n’a pas besoin d’être parfait. Ton ensemble, oui.
Je me mettais une pression folle pour que chaque cils soit placée au millimètre près. Chaque extension devenait un test de précision. Et une fois la pose de cils terminée, je ne voyais jamais l’ensemble. Juste les mini « défauts »: un angle trop droit ici, une légère courbe en trop là. Mon œil ne retenait que ce qui clochait, jamais ce qui était beau.
Ce que j’aurais aimé qu’on me dise à l’époque ?
« Tu n’as pas besoin d’être parfaite. Tu as besoin d’être constante. »
La vérité, c’est que la beauté d’une pose de cils ne réside pas dans la perfection individuelle, mais dans l’harmonie de l'ensemble. Ce que ta cliente perçoit, ce n’est pas le petit détail que toi seule remarques, mais l’effet global des extensions de cils: le regard mis en valeur, la sensation d’être bien et le sentiment de confiance.
Ce n’est pas la symétrie absolue des cils qui fait revenir une cliente. C’est la régularité de ton travail, ton professionnalisme, et l’expérience qu’elle vit avec toi. 💖
Révélation #4: Tu peux avoir de la rétention ET de la légèreté
À mes débuts, je croyais sincèrement que pour que mes cils tiennent, il fallait simplement… coller plus. Mettre plus de colle sur le bouquet de cils. Appuyer un peu plus fort à la pose. Densifier au maximum pour « solidifier » l’ensemble. J’étais convaincue que plus égalait mieux.
J'avais tout faux.
Avec le temps, j’ai compris que la tenue d'une extension sur les cils naturel n’a rien à voir avec la quantité, mais tout à voir avec la qualité de ton application.
Une bonne isolation, c’est la base. Un bouquet de cils bien trempé, pas trop, pas trop peu. Une colle utilisée au bon moment, avec le bon ratio d’humidité et de température. Et surtout, des produits bien choisis, qui fonctionnent ensemble pour optimiser chaque étape du procédé d'extension de cils.
Quand tu maîtrises ta technique, tu n’as pas besoin d’en faire plus pour que ça tienne.
Tu peux offrir des poses légères, aériennes et durables, sans compromis sur la tenue. Et surtout, sans épuiser les cils naturels de ta cliente.
Révélation #5: Ça va venir. Un cil à la fois.
Il y a eu des jours où j’ai voulu abandonner. Où je me comparais sans cesse. Où je doutais de moi, de ma place, de mon talent. Ce que j’aurais voulu qu’on me dise, c’est:
« Sois douce avec toi-même. Tu es en train d’apprendre quelque chose de complexe, de minutieux, de magnifique. Et chaque cil que tu poses te rapproche de ton plein potentiel. »
En toute vérité…
La technique, ce n’est pas juste des gestes à maîtriser. C’est une relation que tu bâtis avec ton art. Et comme toute relation, elle évolue avec le temps, l’expérience, la patience et, surtout, un peu d’amour.
Aujourd’hui, je suis fière de la technicienne que je suis devenue. Et si je pouvais tendre la main à celle que j’étais au début, je lui dirais simplement: Continue. Même quand c’est dur. Tu vas y arriver. Et un jour, tu vas en inspirer d’autres à continuer et se dépasser.
Je serai toujours là pour toi!
- Mariss